Contrôle technique périodique : une obligation
Suite à un avis défavorable sur votre procès-verbal au terme de votre contrôle technique périodique, voire même lors de votre contrôle complémentaire, une contre-visite vous est notifiée.
Souvent, des défauts majeurs ou critiques ont été identifiées par l’un de nos contrôleurs techniques comme des problèmes au niveau du moteur, des freins, des feux, par exemple.
Pendant cette contre-visite, l’identification de votre véhicule ainsi que les points ayant entraîné la contre-visite (défaillance critique ou défauts majeurs) sont systématiquement contrôlés afin de garantir le bon état de votre véhicule suite au procès-verbal de la visite périodique.
Ma contre-visite, quel délai ?
Conformément à la loi, vous disposez d’un délai de 2 mois à compter du dernier contrôle technique périodique pour faire la contre-visite du contrôle technique. Il est important de respecter cette date pour rouler en toute sécurité.
Cette contre-visite consiste à vérifier l’état de votre automobile, les réparations de toutes les défaillances constatées sur le véhicule lors de la date de la visite au contrôle technique. N’hésitez pas à nous demander conseil avant tout contrôle périodique ce qui vous évitera une éventuelle contre-visite due à des défaillances qui peuvent être parfois majeures et critiques.
La contre-visite vous permettra donc de continuer à rouler ou non. Nos experts disposent du matériel à la pointe des dernières technologies pour vous assurer un diagnostic pleinement conforme.
Et si les délais ne sont pas respectés ?
Si vous ne respectez pas la date prévue pour la contre-visite, en l’occurrence 2 mois, vous serez dans l’obligation de passer à nouveau un contrôle technique complet. Un contrôle technique en cours de validité, c’est l’assurance de votre sécurité, de celle de vos passagers et des autres usagers de la route lorsque votre voiture est en circulation et donc, que votre véhicule ne possède pas de défaillances majeures.
Si vous roulez sans contrôle technique, vous risquez une amende à partir de 135 €, voire même une interdiction de mise en circulation. Alors, ne plaisantez pas avec la sécurité.